Gérard Bergeron, Révolutions tranquilles à la fin du XIXe siècle. Honoré Mercier, Félix-Gabriel Marchand, Montréal, Fides, 1997, 230 p.

Gérard Bergeron, Révolutions tranquilles à la fin du XIXe siècle. Honoré Mercier, Félix-Gabriel Marchand, Montréal, Fides, 1997, 230 p.

  • Auteur(e): Réal Bélanger
  • Dossier: Hors-dossier
  • Type: Compte rendu

Extrait

L’éminent politologue Gérard Bergeron s’est construit une réputation internationale en produisant des œuvres de qualité qui demeurent des références pour la communauté scientifique. Parmi les spécialistes du politique, qui n’a pas parcouru un jour, avec grand profit, ses ouvrages sur la théorie de l’État, par exemple ? Modèles du genre, ils sont sources d’inspiration. Peut-on en dire autant du clin d’œil à l’histoire que ce chercheur à la retraite, mais combien toujours actif, vient de soumettre sous le titre Révolutions tranquilles à la fin du XIXe siècle, une « petite étude en duo », précise-t-il, qui brosse le portrait de la vie et de l’œuvre de deux premiers ministres du Québec, Honoré Mercier et Félix-Gabriel Marchand ? Ma réponse d’historien de l’histoire politique ne peut être que négative. En fait, ni Mercier ni Marchand n'ont été bien servis ici par Gérard Bergeron.

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