J.L. Granatstein, Who killed Canadian history?, Harper Collins ed., Toronto, 1998, 156 p.

J.L. Granatstein, Who killed Canadian history?, Harper Collins ed., Toronto, 1998, 156 p.

  • Auteur(e): Félix Bouvier
  • Dossier: Hors-dossier
  • Type: Compte rendu

Extrait

J.L. Granatstein lance un cri d’alarme. Il se demande, c’est là son titre, qui a tué l’histoire canadienne ? Entendons-nous, il traite ainsi de l’histoire canadienne politique et militaire qui saurait unifier les Canadiens d’un océan à l’autre. Il constate, sondages en références, que les Canadiens connaissent bien peu leur histoire commune et que, ce faisant, l’avenir de ce pays qu’il chérit est en danger. Les coupables détectés sont nombreux. Au premier chef viennent les ministères provinciaux de l’Éducation qui pratiquent, comme autant d’esprits de clocher, différents contenus régionalistes, tout en se fiant à leurs fonctionnaires qui défendent une approche non élitiste de l’éducation en général et de l’histoire en particulier.

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